Accueil Critique ‘Kedi’ une face d’Istanbul dévoilée !

‘Kedi’ une face d’Istanbul dévoilée !

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Réalisateur : Ceyda Torun
Sortie : 27 décembre 2017
Sortie US : 10 février 2017
Durée : 2h00
Synopsis Allociné©: Depuis des siècles, des centaines de milliers de chats vagabondent dans les rues d’Istanbul. Sans maîtres, ils vivent entre deux mondes, mi sauvages, mi domestiqués – et apportent joie et raison d’être aux habitants. KEDI raconte l’histoire de sept d’entre eux.

Vu en avance dans le cadre du Club 300, j’ai pu découvrir ce documentaire très instructif que nous livre Ceyda Torun dans les rues d’Istanbul. Au délà des images, Torun nous montre son amour pour ces animaux qui lui a pris beaucoup de temps pour réaliser son long métrage en pleine ville tout en laissant la vie des rues s’animer sans la pertuber avec ces chats semi sauvage et solitaire. Mais que vaut ce documentaire ? Voici mon avis.

NOS NOTES ...
Verdict
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kedi-face-distanbul-devoileeCe documentaire de la turque, Ceyda Torun, nous emmène dans les rues d’Istanbul à la rencontre d’une face cachée de cette superbe ville, les chats. Découvrir cette ville et cet aspect méconnu à travers ce long métrage fut un bonheur. Pourquoi? Tout simplement, j’aime les chats, tout comme beaucoup qui iront voir ce documentaire. Commençant par une vue aérienne, Torun nous emmène à travers la vue de sept chats et de leurs maitres, pour mieux connaitre le comportement, leur routine et les humeurs de ces animaux de compagnies hors normes. Du chat chasseur au chat gentleman, on découvre sept chats tous différents sur un fond sonore de Kira Fontana. Ces fidèles bêtes de compagnie, nous place en spectateur et nous montre le bonheur qu’ils apportent. Pour certains qui les détestaient, ils en deviennent complètement gaga. Torun capte l’élégance du chat qu'on lui connait; grâce à des plans magnifiques, nous donnant envie de les caresser et de les câliner. A la fois domestiqué et sauvage, ils sont parfois livrés à eux mêmes et montrent cette face attachante qui pourrait en faire fondre plus d’un. On découvre au fil du documentaire que les gens d’Istanbul ont besoin de ces chats venant par moment de d’autres pays dû au commerce maritime même si en premier lieu ils étaient plus utilisés pour dératiser la ville. Au final, on en ressort émerveillé et séduit par ces petites bêtes à quatre pattes. Torun a su capter l’essence de cette âme cachée de la ville turque avec sa réalisation simple et maitrisée. Si tu aimes les chats vas y, tu vas aimer.

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